L’intersyndicale a été reçue ce jour par le
Recteur.
Dix points d’accord ont été validés (cf. photo du protocole).
Le 10e point concerne la rentrée 2025. Le rectorat s’engage à doter les 4 établissements qui vont ouvrir avec le personnel de vie scolaire, social et de santé et à ouvrir les classes nécessaires partout où les effectifs élèves dépasseront les prévisions. Cela constitue une garantie de respecter les seuils d’ouverture de classe.
Un contrat d’engagements a été acté avec la CTG, comprenant le lycée de Matoury de la précédente programmation et les 11 nouveaux établissements mis en chantier d’ici 2028.
L’intersyndicale a également rencontré l’association des maires de Guyane mardi 18 mars. Le président partage notre constat sur l’état du bâti scolaire dans le 1er degré et les moyens alloués : des écoles doivent être rénovées, des constructions doivent être programmées. Il déplore également le manque d’investissements de l’Etat pour entretenir les locaux.
Le président de l’AMG a proposé l’organisation rapide d’une réunion associant les élus de Guyane (maire, CTG, parlementaires) et l’intersyndicale afin d’initier l’élaboration d’une plateforme d’objectifs pour obtenir les moyens nécessaires à la mise en oeuvre du plan de rattrapage pour l’éducation en Guyane.
Néanmoins, l’intersyndicale déplore/souligne un point de désaccord majeur avec le rectorat : la non création de postes pour la rentrée 2025.
Les interlocuteurs de l’intersyndicale ont tous souligné la qualité et la pertinence du cahier de revendications et le consensus obtenu après concertation d’un grand nombre de collègues.
Nous saluons la mobilisation des grévistes qui a permis l’obtention de ce protocole et des engagements avec la CTG, en dépit des obstacles et des oppositions.
Le travail de l’intersyndicale se poursuivra avec l’assemblée des maires, la CTG et le président de l’université.
Dix points d’accord ont été validés (cf. photo du protocole).
Le 10e point concerne la rentrée 2025. Le rectorat s’engage à doter les 4 établissements qui vont ouvrir avec le personnel de vie scolaire, social et de santé et à ouvrir les classes nécessaires partout où les effectifs élèves dépasseront les prévisions. Cela constitue une garantie de respecter les seuils d’ouverture de classe.
Un contrat d’engagements a été acté avec la CTG, comprenant le lycée de Matoury de la précédente programmation et les 11 nouveaux établissements mis en chantier d’ici 2028.
L’intersyndicale a également rencontré l’association des maires de Guyane mardi 18 mars. Le président partage notre constat sur l’état du bâti scolaire dans le 1er degré et les moyens alloués : des écoles doivent être rénovées, des constructions doivent être programmées. Il déplore également le manque d’investissements de l’Etat pour entretenir les locaux.
Le président de l’AMG a proposé l’organisation rapide d’une réunion associant les élus de Guyane (maire, CTG, parlementaires) et l’intersyndicale afin d’initier l’élaboration d’une plateforme d’objectifs pour obtenir les moyens nécessaires à la mise en oeuvre du plan de rattrapage pour l’éducation en Guyane.
Néanmoins, l’intersyndicale déplore/souligne un point de désaccord majeur avec le rectorat : la non création de postes pour la rentrée 2025.
Les interlocuteurs de l’intersyndicale ont tous souligné la qualité et la pertinence du cahier de revendications et le consensus obtenu après concertation d’un grand nombre de collègues.
Nous saluons la mobilisation des grévistes qui a permis l’obtention de ce protocole et des engagements avec la CTG, en dépit des obstacles et des oppositions.
Le travail de l’intersyndicale se poursuivra avec l’assemblée des maires, la CTG et le président de l’université.
La lutte continue avec le prochain Recteur !